Le défi, 100 jours pour écrire un livre, semaine 6

Les vacances…les vacances, rien de mieux pour ne rien faire. Pourtant, j’étais très motivé. Surtout, très motivé à ne rien faire. Donc, je n’ai rien fait.

Vacances j’oublie tout, plus rien à faire du tout…

Seulement voilà, alors que je rédige cet article, je me rends bien compte, que je suis quasiment arrivé à la moitié du temps imparti pour le défi que je me suis lancé et que niveau rédaction, je suis loin d’en être à la moitié.

J’ai bien écrit quelques lignes durant mes vacances, mais je suis loin d’avoir rattraper le temps perdu. Je sais bien que le temps perdu ne se rattrape plus mais disons que j’avais bon espoir de mettre un bon coup de cravache à mon travail et d’avoir au moins bien avancé, même si je savais qu’en aucun cas je n’aurais pas pu refaire mon retard.

Accumulation de retard

Pire encore, j’ai continué l’accumulation de retard.

Je pourrais faire une longue liste d’excuses mais je ne leurre que moi avec. D’un autre côté, ce n’est pas facile de trouver un moment de calme et de sérénité pour écrire, quand tu es en vacances avec ta douce moitié. Enfin, du temps tu en trouves si tu veux.

Excuses et Procrastination ne mènent qu’à une choses : rien. Je confirme, je n’ai rien fait de probant, je n’ai même pas l’excuse d’avoir créé autre chose pendant mes vacances, j’ai juste profité de ne rien faire pour en faire encore moins.

Finalement, j’ai presque hâte de reprendre le travail pour pouvoir me consacrer à mes loisirs. Paradoxal, je sais à première vue, mais au final pas tant que cela. Une fois que la machine est lancée, que ce soit pour le travail ou pour les projets personnels, tout se passe beaucoup mieux.

Verdict sur ce genre d’affirmation étrange la semaine prochaine puisque je retourne au travail dès dimanche pour les Journées Européennes du Patrimoine.

Dans l’attente de vous écrire, créativement votre.

Olivier

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