Le défi, 100 jours pour écrire un livre, semaine 7

Le défi, 100 jours pour écrire un livre semaine 7 marque la moitié du temps imparti au succès de cette entreprise. En effet, 100 jours ramenés à des semaines font 14 semaines et 2 jours.

Semaine 7, la moitié du défi

Selon le programme d’Anael Verdier, je devrais en être au point final du premier jet du livre. C’est justement là que je ne suis pas. J’en suis uniquement au chapitre 4 sur 10. Donc, je ne peux même pas dire que j’en suis à la moitié du challenge, si ce n’est qu’en terme de temps.

Pour autant, je ne me laisse pas abattre, car après une période, disons plutôt dédiée à la procrastination et au manque évident de motivation, je commence à mettre la tête hors de l’eau.

Aucun miracle prévu à l’aube de la huitième semaine, mais j’ai légèrement changé la méthodologie, je l’ai adapté à mon style d’écriture, alors je suis assez confiant. Au lieu d’écrire l’intégralité du livre en 50 jours, j’écris les chapitres les uns après les autres d’un premier jet, et ensuite, je les retravaille. Il est évident qu’il faut une sacré motivation pour continuer ainsi mais je fonctionne mieux ainsi. Comme l’explique Anael Verdier dans sa méthodologie, lors de la rédaction peuvent survenir des problèmes de compréhension, de cohérence, c’est pour ça qu’il préconise de faire un premier jet du livre entier et de corriger  ces erreurs ensuite. Je préfère adapter la méthode, et malgré tout, les synopsis détaillés sont là pour rester sur les rails.

Adaptation de la méthodologie à ma façon de travailler

Enfin, avant d’arriver à voir si il y a des erreurs et des incohérences dans le livre il me faudra le terminer. Et comme j’ai déjà la fin du livre, je sais où je vais, où je navigue et ce qui dois m’amener à ce résultat. J’espère que cela n’entraînera pas trop d’erreurs et que mon adaptation de la méthode me permettra tout de même de terminer mon livre en 100 jours.

De toute façon, j’ai d’autres projets d’écriture en tête et je pourrai affiner la méthodologie ultérieurement, corriger le tir comme on dit.

Un premier bénéfice de cette méthodologie, avant sa transformation par mes soins, c’est la première fois que je vais aussi loin dans l’écriture d’une histoire qui trotte dans ma tête. Je suis donc plein d’espoir pour toutes les autres.

J’ai encore des axes de progression, tant mieux, personne n’est parfait. Et même si certains génies de la littérature ont écrit un best-seller dès leur première fois, je sais que cela peut arriver avec le deuxième, le quatrième même le dixième ouvrage…même jamais, il faut être prêt à toute éventualité. Cette méthode de travail permet donc de ne pas perdre de temps pour arriver au succès, même si ce succès n’est qu’un succès d’estime.

Bon, je ne vais pas aller plus loin pour cette semaine, je retourne à mon ouvrage. Rendez-vous la semaine prochaine pour vérifier si cette bonne tendance de la semaine se poursuit…

Créativement vôtre.

Olivier

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